In his safe house on the Rue Jean du Bellay, 007 stood sentry to his treasures, waiting for the interlopers he had been expecting.
Well, not really but the eccentric owner of 'L'Etiquette' does give his name as 007 on the grounds that everyone has a number - National Insurance, Identity, Passport etc. and so he has adopted what he considers the best number - 007 - as his own.
My name is Hervé, Hervé Lethielleux |
The motto of L'Etiquette is 'All you need is wine.'
visiting card of L'Etiquette |
obverse side |
Herve's treasures |
Here's what we bought;
According to the label, Metis is a unique blend of Gamay (35%), Poulsard (22%), Trousseau (10%), Pinot Noir (18%), Enfarine (5%) and 'vieux cepages' (10%) but what could the vieux cepages be if all the Jura varieties have already been mentioned?
Thanks to a website called www.cancoillotte.net (all about the Franche Comte), we learn the following
- Foirard, Pourrisseux, Gueuche et autres cépages ancestraux !
- Le Foirard blanc, ou Gueuche, était à l’origine d’un vin vert et acide, estimé pourtant des moissonneurs qui appréciaient son côté rafraîchissant. Je n’ose envisager les origines exactes de son nom ! Il ne faisait peut-être pas toujours bon se rouler dans la paille à cette époque !
- Le Chasselas, importé de Suisse Romande, a préféré retourner chez lui aussi discrètement qu‘il était arrivé !
- Le Pourrisseux ou Peurion, assez spécifique du Jura, donnait plutôt un bon vin blanc mais sa grande fragilité, comme son nom le laisse supposer, a eu raison de son implantation locale.
- Le Gueuche Noir ou Gouais ou Foirard noir, pendant en rouge du premier cité, donnait des vins « plats, acides et de mauvaise constitution » . Les mauvaises langues aimeraient pouvoir prétendre qu’on en trouve encore dans le Jura, mais ceci n’est qu’une légende !
- L’Enfariné, fréquemment recouvert d’une pellicule blanchâtre, d’où son nom, fut candidat à l’arrachage en 1731. D’après un dénommé Chevalier, il est aussi « désagréable que le nom est déplaisant ; son vin léger est acerbe et peu coloré ». Il eût pourtant pu être apprécié en assemblage dans un millésime comme 2003 pour corriger naturellement l’acidité qui faisait défaut aux vins !
- L’Argant, classé dans les meilleurs plants en 1774, connut son heure de gloire au XIXe siècle en raison de sa bonne résistance au mildiou.
- On peut encore citer le Gamay noir, le Petit Beclan, le Valais noir et le Gros Béclan, autant de cépages qui ne sont pas passés à la postérité jurassienne.
Look up Argant and you get 'See Gansfuesser.' Ganfuesser was widely cultivate in Germany in the middle ages but is something of a relic now. One Etienne Thiebaud (Domaine des Cavrodes) has rescued an old vineyard in Liesle, South West of Besancon and makes a blend including this and Gueuche Noir, Blauer Portugieser, Enfarine and Mezy as well as more familiar Jura varieties.
Galet says there were 4 ha. of Valais noir in the Jura in 1988 but it has disappeared since.
Beclan 'Wine Grapes' tells us that both Petit and Gros Beclan are still in existance but Gros Beclan is actually Peloursin. Only 1 ha. of Petit Beclan can still be found. Bourdy and Ganevat have re-planted small areas.
Mezy is the Jurassic name for Meslier Noir, the black version of Meslier Saint Francois. Again Etienne Thiebaud has rescued this grape from the Liesle vineyard mentioned above and includes it in his Vin de Pays de Franche Comte.
Less involved, this Pinot D'Aunis from the Loir (nice label)
and again from the Jura, a Poulsard from Thill. We had come across Thill before at both the Salon des Vignerons Independants in Paris and RAW in London. Might this Thill be related somehow to the great French tenor Georges Thill? 007 would probably know.
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